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hard rock - Page 2

  • Hellfest : perseverare diabolicum

    slayer, kiss, the interrupters, ultra vomit, les wampas, me first and the gimme gimmes, slash, fever 333, clutch, morning again, lynyrd skynyrd, blackberry smoke, eagles of death metal, dropkick murphys, gojira, hellfest, metal, hard rock, punk, warzoneEt je décidais de retourner au Hellfest. Armé de l’expérience de l’année 1. Dépucelé en quelque sorte.

    Avec tous les enseignements, du style, ne pas se balader 3 jours en Converse histoire de ne pas se retrouver le 3ème jour avec la démarche d’un labrador en fin de vie,

    Boire de l’eau avec la bière le premier jour, histoire de ne pas se réveiller avec une barre dans le crâne. La base.

    Ressortir la chemise hawaïenne, le détail qui permet à la bande de velus testostéronés de se repérer de loin au milieu des t shirts noirs à pentagrammes et têtes de boucs.

    A part ça, Citrate de bétaïne, Alka Seltzer et Doliprane dans le sac. Et diète de bière pendant le mois précédent pour se préparer à l’épreuve.

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  • Je réécoute Van Halen

    Ne me jugez pas.

    Pas la version Sammy Hagar, faut pas exagérer non plus. Non, la version originale, la seule, la vraie, le line-up années 80, avec David Lee Roth au chant. Efficace, carré.

    Et fondamentalement inoffensif.

    Mais quel pied, quel kif, quel petit orgasme auditif. Se replonger dans ce qui quelques années plus tard allait inonder les radios FM. Les alignements d'amplis Marshall, le très gros son. Et finalement quelque chose d'assez proche de Spinal Tap. On met le son à fond, sur 11. On fait plus de bruit que les copains. On a l'attitude. On laisse grandir une légende à base de sexe, drogue, alcool...

    Ce qu'il y a de particulier et d'unique chez Van Halen, est que tout à été dit dans le premier album. Pire, ou coup de génie absolu, tout a été concentré dans un morceau d'une minute vingt. Eruption. C'est la limite géniale de Van Halen. Une efficacité absolue, la capacité à se bâtir un répertoire sur une poignée de covers en les dopant à la testostérone, You really got me, (Oh) Pretty woman, entre autres... Au carré. Nickel, produit aux petits oignons. Un groupe mineur et majeur à la fois. La blague fonctionne à merveille jusqu'au milieu des années 80. Et l'introduction du synthé, le riff qui tue, repensez à l'intro de Jump... Juste après vous pensez à Europe, The Final Countdown, vous pensez à Bon Jovi, Livin on a prayer. Van Halen a délayé le terrain pour tout le hard FM des années 80-90.

    Jusqu'à ce que les kids aient envie de quelque chose de plus sale, de plus rapide, de moins glam, de plus noir. 

    Mais en attendant, Van Halen est le pur reflet d'une époque heureuse, décomplexée. Tranquille. 

    On réécoute...




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  • Bloc-note express N°216

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    Alors on va reprendre, comme au bon vieux temps de la blogosphère des Bisounours, celui où on s'aimait tous, où l'on buvait des coups en comparant nos chiffres trafic, toujours un peu surgonflés.] 

    Après avoir vu 2 fois Interstellar, je m'envoie dans les esgourdes la BO du film, signée Hans Zimmer. Pas précisément de la musique de chambre (astuce...), mais un truc suffisamment méditatiof pour aider à s'endormir le soir. A tester. Recommandé par Mr Dubuc. Ecoute en boucle de l'album de Royal Blood, bourré d'énergie, de quoi faire danser les morts, les paralytiques et tomber les murailles de Jericho. Cela dit, et toujours en se demandant comment un simple duo équipé d'une basse (avec plein d'effets) et d'une batterie peut déclencher un tel bordel. Créativement parlant, au delà de la filiation Led Zep, il y a clairement un parallèle évident avec les White Stripes et les Black Keys. Autre déluge sonore, plus classique, l'album des Foo Fighters. Dave Grohl est un type sympa, une bête de scène à la bonne humeur communicative. L'album n'est ni génial, ni indécent. Du bon gros rock très lourd. Ca se déguste tranquillement, à fond, et on se dit que dans un stade, ça peut être énorme.

    Que dire du nouvel album d'AC/DC? Euh? Il se laisse écouter, il est décent, il ne dépare pas dans la discographie du groupe, le mot rock est décliné dans tous les titres, Brian Johnson est en voix, Angus envoie du bois. OK, on aurait pu le dire (et je crois l'avoir déjà écrit il y a 4 ou 5 ans) du précédent album. De l'avantage d'entretenir son patrimoine et de se faire rare... Ceux qui ont considéré que les Ramones n'ont fait que ne refaire le même album en 25 ans de carrière, adoreront AC/DC. Il y a une formule, qui n'est plus du hard ou quoi que ce soit d'autre, juste du classic rock qui puise ses racines dans un blues rock gras et vintage. A part ça, rien à signaler. Ca va cartonner, les stades vont se remplir. Je dis hic et nunc que je ne m'y laisserai pas prendre. Et je sais que si l'opportunité se présente...

    Neil Young sort un album, Storytone, plus que décent. Et on est admiratif. Le gars à pratiquement 70 ans est encore capable de créer quelque chose qui va s'inscrire quelque part au top de sa longue discographie. Pas de chutes de studio, pas un raboutage de vieilles bandes retrouvées entre deux coussins de sofa. Du neuf. 

    Et côté nouveautés et trucs un peu intéressants et français et à suivre, Chinese Robots et Chinese Army. Les deux groupes ne sont pas dans le même registre musical, mais quand même, deux groupes qui ont un nom en Chinese quelquechose, c'est ballot... Enfin, j'dis ça, j'dis rien.

    De Chinese Robots, je retiendra la voix du chanteur qui porte l'ensemble. Un petit côté Bryan Ferry plutôt séduisant pour l'oreille. Un bel EP, Halo Future, disponible ici.

    Côté Chinese Army, un EP aussi qui sort le 1er décembre chez Believe. Chinese Army, c'est le Suicide français (lolilol, Zemmour sors de ce corps!). Non, rien à voir avec le polémiste rase-moquette. Juste un duo dont les sonorités et l'univers rappelle les foutraques Alan Vega et Martin Rev... A commander ici.

    Voila, c'est tout pour aujourd'hui. Si le coeur vous en dit, lisez l'autobiographie de John Lydon. A la hauteur de la légende du personnage. 

    Enjoy!

     

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  • RIP Jon Lord, Deep Purple

    Encore un... Pour les quadras, quinquas, sexas, le constat terrifiant de voir notre jeunesse s'effacer pas à pas... Les icônes du rock des 60s, 70s disparaisent tranquillement de maladie. Des mecs normaux qui meurent de maladies normales chez les mecs de leur âge. En gros, si tu n'es pas mort à 27 ans d'OD autour de 1969-71, tu t'apprêtes à passer une retraite presque tranquille dans ta ferme au milieu de tes chevaux ou de tes voitures de sport (cliché)... Et crac. La camarde passe. Don't fear the reaper chantait Blue Öyster Cult... La blague. Même pas peur, mais le résultat est le même. Hier, Jon Lord, maître ès-clavier de Deep Purple. 

    In memoriam, Child in Time

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